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La gravité des plumes,

 

Igor tchépenkor et la perspective de l'ailleurs

Igor, qui fût pendant 10 ans l’apprenti d’un maître tisserand, est aussi un grand amoureux de la connaissance. Mathématiques, sémiologie, sciences diverses et variées nourrissent l’imaginaire d’Igor. Mais le regard d’Igor s’éteint peu à peu. Cette étrange maladie plonge Igor dans une folie et les fragments récoltés par sa grande curiosité et ses voyages viennent peu à peu s’assembler dans une étrange constellation. Entre pensée délirante en bribes de souvenirs, c’est d’abord la porte de son imaginaire que tente d’ouvrir Igor. Une invitation au voyage sous forme d’associations libres qui tente de se constituer en tant qu’histoire. Quel fil narratif faudra-il à notre personnage pour retrouver sa rigueur de tisserand.


Tisserand, Igor racontait avec une structure hors pair nombres d’histoires qui venait figurer sur ses tapis.
Mais les maisons traditionnelles se sont peu à peu transformées, le carrelage a remplacé les tapis. Sans tapis plus de métier. Le voilà condamner à errer.

Sans la rigueur et la chronologie visible du métier à tisser, plus de structure pour l’imaginaire débridé d’Igor. Les idées lointaines s’assemblent. Passant du coq à l'âne, ne serait-ce pas une étincelle que cherche Igor? Une étincelle capable de ranimer son regard éteint.

Résumé

Chapitres

Bibliographie

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