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quelques hosties orangées résistent encore
aux meurtrières assassinent
creusant par leurs cris sourds
l'abîme d'une nuit sans aspérités
la percée de l'espoir vertical est rendue sans issue
par un blanc grisâtre et vaporeux
la solidarité des cumulus entre eux
semble être manié par le rire écrasant
des bêtes nouvelles
les chacals de l'hiver montrent leur visage
branchés à cette sphère toxique dans le leurre de la distance
l'hominisation est laissée à l'abandon
dans une dérive sans conducteur
l'ancre aura le temps de rouillée
avant d'atteindre le fond
d'ailleurs il n'est que trou noir
aspirant même la source des images
les arbres porteurs du souffle sont devenus fantômes carbonisés
squelettes de fer forgé
et la mue chrysalide
rend à la peau son aura violacée
aux meurtrières assassinent
creusant par leurs cris sourds
l'abîme d'une nuit sans aspérités
la percée de l'espoir vertical est rendue sans issue
par un blanc grisâtre et vaporeux
la solidarité des cumulus entre eux
semble être manié par le rire écrasant
des bêtes nouvelles
les chacals de l'hiver montrent leur visage
branchés à cette sphère toxique dans le leurre de la distance
l'hominisation est laissée à l'abandon
dans une dérive sans conducteur
l'ancre aura le temps de rouillée
avant d'atteindre le fond
d'ailleurs il n'est que trou noir
aspirant même la source des images
les arbres porteurs du souffle sont devenus fantômes carbonisés
squelettes de fer forgé
et la mue chrysalide
rend à la peau son aura violacée
des ongles fêlés par le repli
une frontière poreuse enduite de magnésie
et la manie au sommet du mont sans souvenirs
des appels creux cherchant encore derrière ton mirage
la chaleur reposante de ton eau croupie
et pourtant tu n'est que déchéance et être endormie
soleil aveuglant forçant l'appel de la nuit
ton image s'arrête au miroir déformant
quand dans ton sommeil tu m'offre mon dernier rêve
une frontière poreuse enduite de magnésie
et la manie au sommet du mont sans souvenirs
des appels creux cherchant encore derrière ton mirage
la chaleur reposante de ton eau croupie
et pourtant tu n'est que déchéance et être endormie
soleil aveuglant forçant l'appel de la nuit
ton image s'arrête au miroir déformant
quand dans ton sommeil tu m'offre mon dernier rêve
des journées à sillonner inconsciente l'espace inconnu
aux portes confinées dans des rectangles moelleux
à me dévêtir sous la lumière opaline d'une lune
aux mains agitants les formes sans fin des humeurs clandestines
reprend moi dans tes bras même s' ils sont voilés
aux portes confinées dans des rectangles moelleux
à me dévêtir sous la lumière opaline d'une lune
aux mains agitants les formes sans fin des humeurs clandestines
reprend moi dans tes bras même s' ils sont voilés
j'ai entrepris le voyage
au pays du grand rêve
là où les signes sont des astre fixés
immuabilité ne dépendant que de la volonté
ils veulent me faire revenir
parlant assurement
d'une réalité qui n'est que leur instable auquel personne ne peut s'accrocher
j'entends les choeurs de certains se serré au passage du grand bateau
aucun ignore quel est le capitaine
et le nom de l'étoile pour le peuple des héros
j'ai derrière moi des frères gardiens des rêves
qui manque parfois de transformer leur canne en bâton
mais notre marque est inscrite à jamais dans nos plaies
loin des tortionnaires
nous appelons les guérisseurs
que la joie de vivre
reviennent en Astre de choix
au pays du grand rêve
là où les signes sont des astre fixés
immuabilité ne dépendant que de la volonté
ils veulent me faire revenir
parlant assurement
d'une réalité qui n'est que leur instable auquel personne ne peut s'accrocher
j'entends les choeurs de certains se serré au passage du grand bateau
aucun ignore quel est le capitaine
et le nom de l'étoile pour le peuple des héros
j'ai derrière moi des frères gardiens des rêves
qui manque parfois de transformer leur canne en bâton
mais notre marque est inscrite à jamais dans nos plaies
loin des tortionnaires
nous appelons les guérisseurs
que la joie de vivre
reviennent en Astre de choix
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