top of page
Je peux entrer,
-Tu peux entrer,
-le cou (...) zone permise?
-Le bout des doigts
-Sais tu mon petit que tu as un regard extraordinaire?
Je ne sais pas s’il a conservé la vision des horizons bleus, ou si tes yeux ont gardés en eux la profondeur verte de l’océan, mais ils me paraissent changés.
-c’est le pont, on y reste
-parceque cest officier de marine, parceque ça a navigué sur un pauvre petit navire de rien du tout...
-Ça se croit tout permis
-rentrée dans le monde comme un ignorant
-je ne me souviens plus
-je ne crois au mal que si je le touche du doigt
-comme elle a changée
-mon dieu que vous êtes changée, quelle transformation
-métamorphose
-mon danseur me réclame
-veux tu que je te présente
-désigne-la moi d’abord
-tu es fou
-là en face de toi (...) comme elle l’est dans sa vie
-c’est une question de relativité
-elle a des cheveux gris
-quelques fils argentés
-Pierre a raison
-ne soyez pas scandalisé
-eh! bien, vieux
-Eh, bien quoi
-un point c’est tout
-j’ai pensé à toi et devine
-vous semblez loin, très loin d’ici. Au Japon, à votre dernière escale?
-Beaucoup plus près. Un endroit que vous connaissez mais que je ne vous dirai pas
-veux tu me laisser grand fou? je ne danse plus, tu le sais bien
-je ne vous lâche pour rien au monde, donc ne résistez pas, vous vous feriez lourde et vous êtes si légère, si souple
-je parle si bas, si bas
-je vous place au dessus de toute
-Venez danser
-emmenez-moi là haut
-notre disparition ne manquerait pas d’être remarquée
-ne pensez pas non plus que je suis...fou
-un désir de malade
-non vous ne rirez pas et vous ne comprendrez pas plus que moi
-je déteste les jeunes filles
-dansez soyez joyeux
-c’était factice, je n’ai plus l’usage du monde
-la chasteté me pèse et doit me monter au cerveau
-les couleurs vous vont si bien
-vous riez
-va ouvrir
-me voici donc passée
-vous êtes si bien dans tous les rôles
-je vous écoute
-le tutoiement n'a plus sa raison d'être
-j'emplois seulement une formule consacrée
-j'en doute
-moi  aussi au fond
-rien de plus, en aucune façon
-restez tranquille
-on a l'impression de le voir à travers un microscope
-il ne peut être autre chose
-on cause,on circule,on musique,on peut partir quand on veut, on est bien et on reste quelquefois, on danse, son rire cristallin, en cela de celui très spécial, si tu désires connaître mes projets
-étalage de son ésprit
-que je suis seul à remarquer
-rien ne rebute
-qui se montre par intervalle
-comme une ombre
-je te laisse évoluer
-on a l'impression de le voir à travers un microscope
-il ne peut être autre chose
-de sa personne aussi sans doute`
-à quoi s'amuse-t-on ici
on cause, on circule, on musique,on pezut partir quand on veut,on est bien et on reste quelque fois, on danse et voilà.
-si tu désires connaître mes projets
-va faire étalage de son esprit
-que je suis seule à remarquer
-rien ne rebute contera fleurette
-qui se montre par intervalles
-jai eu l'idée de me sauver comme un voleur
-je me suis senti isolé.
-je n'ai pas peur devous
-le secret de vos yeux graves
-quelles précisions?
-je suis assoiffé.
-j'aime la mer, j'aime les pays nouveaux
-vous ne devriez pas vous laisser dominer par vos nerfs
-il faudrait que vous vous intéressiez, que vous vous passionniez, que vous ayez un but précis-
-on ne s'entend plus
-pieds nus sur la plage
-il soulève l'incrédulité
-j'en suis presque certaine
-vous avez une raison
-j'ai vu clair
-je suis entrée dans la vie avec cette idée
-tout cela est loin, une erreur passagère
-nous avons des points de ressemblance?
-nous regardons tout avec une loup grossissante, procédé néfaste
-je demande à entendre
-venez le chercher, penchez vous un peu
-c'est tout?
mais c'est beaucoup
merci c'est gentil
-quel monde
quel milieu
-je peux entrer
-tu peux
-bien au dessus des autres, sur le piédestal de la perfection.
-Je vois clair
-Je vois ce que chacun peut voir
-cela menace d'être long
-Nous avons le temps
-procédons par ordre
-vous ne voyez pas de cicatrice
-A le reflexion (...) ce geste...
-pourquoi?
-Je crois
-à une condition
-J'ai les nerfs à fleurs de peau
-tu te drogues?
-Tu prends de la cocaïne ou tu fumes de l'opium?
-je vous le jure
-je te crois
-Mon dieu
-je l'avais oublié à présent
-Je veux partir
-vous n'avaez pas de sortie de secours
-on fume
-demain, (...) le regard qui l'avait troublé
-je trouve assez naturel d'être, mais songez
-guéri puisque vous êtes là
-je ne sais pas,je ne sais pas mais je crois
-mon esprit en éveil - de ne rien comprendre - j'aurais besoin de l'être
-je le sens
-il est des jours, il est des soirs
-il y en a beaucoup qui feraient semblant de prendre,
-moi je suis certain, a coup sûr, je suis certain - je voudrais vous voir
-Parlez-moi de Pierre
-vous êtes folles
-vous êtes folles, complètement folle
-je te livre le poignet
-j'ai mes vapeurs
-tu me rejoins
-Sortir!
-tu comprends?
-je ne voudrais gâter la symétrie
-tu me quittes?
-et ne sais-tu pas ce qui me plaît?
-vous êtes seul?
-ce n'est pas vous qui conduisez?
-vrai, bien vrai?
tout à l'heure si je vous écrase trop
-je suis si bien là
-si, je doute de tout
-sans vous presser
-parlez, je vous en prie
-je voulais seulement entendre
-il ferait bon d'y rester
-mon rêve serait de vivre
-je crois
-nous partons déjà pour la mer
-pas tout de suite
-faites un autre tour
-c'est promis, à condition...
-je vous donne ma parole
-il est trop tard
-elle vous attend
-sage.promettez moi d'être calme
-je l'avais décroché
-je comprends
-dans le mien propre
-tout seul
-je suis désolé de constater que ce sommeil n'a rien eu de réparateur
-rien du tout
-et puis cela me regarde, tu entends
-j'entends mais je n'écoute pas
-nous avons deux oreilles, l'une enregistre, la seconde élimine illico
-elle a absolument besoin de son chapeau
-je brille, elle s'anime
-avant d'avoir eu le temps de me reconnaître
-je n'avais aucune envie de poursuivre ce petit jeu
-tu vois ça d'ici
-ne pas confondre, comme après un bon tour
-je suis élevé jusqu'à nouvel ordre
-je te vois une tête à l'envers
-je te connais
-tu serais capable de t'attacher
-je crains ton imagination
-temps éphémère - accepté la rupture avec esprit-aventures-peintre entre autres
-au cours d'un de ses voyages (...) tragique détail
-je me sauve
-vous allez mieux?
-ne me regardez pas
-n'avez vous pas promis d'être sage
-je le suis
-avant
-mais si les gestes sont interdits, les parole sont-elles permises
-je ne veux rien que votre présence
-laissez-moi, laissez-moi
-je suis bien
-relevez-vous, soyez plus calme
-si vous l'étiez un peu moins
-Partout où vous êtes, il est.(...) Croyez-vous (...) moins à présent?
-je vous regarde
-une seule fois, la dernière...
-je vais partir, je ne peux plus
je n'ose même pas
-Au revoir, (...) comme aujourd'hui
-vous pourrez, vous voudrez
-j'oserais d'avantage
-tu est seule?
-Elle avance
-Tu sais que je te défends
-votre voix (...) vous attends
-raison de plus
-entre
-tu n'as pas donné signe, j'ai cru
-ça se voit?Je n'ai rien
-Je cherche
-je commence
-attribue cette peine à tes plaintes
-peut-être la cause initiale
-Tu divagues
-Tu ne m'étonnes pas
-Je suis entrain
-je ne comprends pas
-je me sens redevenir fou
ton imagination travaille. Tu la diriges mal
-tu te plais à dramatiser toute chose
-je préfère la douleur à une vie sans émotions
-plus j'y tiens, plus je m'y attache, plus je m'y accroche
-je vais décommander
-je dois partir
-pour aller où?
-Tu ne sortiras pas d'ici, je verrouille les portes
-est-ce moi qui me suis jeté
-si tu prenais la chose légèrement
-trouver un dérivatif
-l'heure a passé
-naturellement
-je ne crois pas.
-comment vous ne croyez pas!
-Puis il est parti
-ne marche plus, tu me donnes le vertige
-elle manque absolument d'esprit ayant un sens
-lorsque nous sommes dans le monde
-veux-tu ma pensée?
-par le plus grand des hasards
-tu me déroute
-je ne suis pas éloigné de le croire
-de l'aider à comprendre
vous n'avez plus peur?
-oh!je n'ai pas de secret
-non, puisque j'ai l'espoir
-entreprendre ce voyage
-je suis ravi, enchanté
-vous m'emmenez
-je vous en laisse le soin
-il ne faut pas perdre le temps
-dans l'eau
-par le train
-je ne pars pas
-affolante perspective
-en spectatrice, en paravent
-à moins que ce ne soit un rhume du cerveau
-tu conduiras
-vous touchez à la vérité
-Nous verrons
-je n'entends pas
-t'occupe pas du chapeau
-je ne ferais pas un mouvement
-pas un mouvement
-illusion de vos sens abusés
-Et vous aussi à moi, d'un autre genre
-près de vous je me sens toujours bien. Vous êtes mon reposoir
-nous passons le chercher
-connaissez vous rien de plus beau, rien de plus vivant
-vous parlez à un marin dont la mer a été la seule espérance
-c'est vous qui me la ferez connaître
-je ne voudrai plus en bouger
-ce n'est pas vrai
-vous le croyez, c'est une erreur
-je ne crains pas ce danger
-du murmure berceur des flots
-de l'air salin qui vivifie
-de la sereine beauté du ciel
-je ne vous dirai rien
-rien à vous signaler sur le reste
-un impur, c'est l'autre. Pur auprès de l'impure
-à travers l'espace
-je vais me retirer au coucher du soleil
-rester un moment
-je regrette votre promenade
-paroles inutiles
-oui....ferme les portes
-entends les vagues, je veux que toujours leur murmure te rappelle
-un instant
-je veux que tu saches que mon être
-j'ose prononcer
-endors-toi au chant de la mer
-je ne danse pas
-je veux vous apprendre
-vous êtes d'une légèreté, vous danserez comme un ange
-je ne vous ai jamais vu
-je suis fou, mais je l'aime ma folie
-c'est à toi de comprendre
-donnes-moi au moins ton regard
-je n'ai que le temps de me donner un coup
-je m'en vais
-on n'est jamais tranquille
-attendez, un instant
-ne faisons pas de projets
-attends
-vous faut-il des précisions?
-je peux vivre de souvenirs
-si elle le voulait je ne partirai plus
-évoquer ses songes d'enfants
-sont-ils si loin ses songes
-je me souviens
-vous me permettez de me souvenir
-c'est une de mes faiblesses
-sois tranquille
-je voudrais la rejoindre
-je n'avais pas songé
-il est d'ailleurs
-je vous les dirai à l'oreille
-nous partons toujours
-tu te fourres le doigt dans l'oeil jusqu'au coude et au-delà
-je barricade les portes
-entre vous deux
-il m'attend sur la route
-vite mon chapeau
- apporte-moi mon chapeau
-cette nuit n'errera pas solitaire
-tu m'attires, puis tu m'éloignes
-je viens t'enlever pour la journée, nous allons à Deauville
-j'ai voyagé
-entends, entends les vagues
-je monte, par la fenêtre
-reste demeurer avec ton souvenir
-je te demande de ne pas faire danser
-je ne danserai pas du tout
-témoin invisible
-et tu oserais faire ça?
-trouve le moyen d'abord
-j'ai vu rouge
-quel être léger et inconséquent
-le reste de la route nous le ferrons seuls
-je l'espère bien
-il est des moments où je me demande ce qui est le plus fort en moi
-les rôles sont renversés
-cette folie des sens
-elle est toute cérébrale
-d'ailleurs
-là-dedans
-vraiment, aussi éclairés et désintéressés
-ne prenez pas cet air étonné
-d'où viens tu?
-j'ai déposé une carte
-éloigne-toi, laisse-moi, pile électrique
-Ailleurs?
-je ne vous croirai pas
-Nous ne parlons pas le même langage
-vous n'avez pas l'ombre
-vous n'avez aucun fond
-si je t'ennuie ne m'écoute pas
-Il est des moments où j'en doute
-il est des moments où j'en doute
-que me donnes-tu pour avoir le droit de me reprocher ma conduite
-d'ailleurs
-je ne puis rien éprouver
-je ne te demande rien que de me croire
-du plus profond de mon être
-la couleur de la mer
-les les ignores
-incapable d'agir sans but
-je ne veux ni ne cherche à comprendre
-ils t'arrivent affaiblis par la distance
-indistincts dans le tumulte de la mer en furie
-mais tu les entends car il murmure ton nom
-cherche à couvrir le bruit du vent
-toutes mes paroles, tous mes gestes, tous mes actes, sont dirigés
-je suis sûr d'être libre
-va rejoindre l'impure
-je croirais à l'influence de la mer, du ciel d'été de la chaleur
-nous ferons une excursion dans les environs
-vous jugez les autres d'après vous
-elle est montée pour descendre
-le vice devient de plus en plus visible
-êtes-vous libre?
-je ne suis pas sûr.
-sans la nommer
-dans toute l'acceptation du mot
-demain, je l'enlève
-je dois partir, il me faut respirer un autre air
-j'aurai un poids de moins
-si j'oserai
-en ce moment c'est l'esprit de justice qui domine
-je ne sais pas si c'est l'esprit dont tu parles
-fais-moi oublier
-Ose dire que tu éprouve même l'ombre
-Je ne risque même pas un geste
-je ne comprends pas
-tu en fais des voyages
-écoute, écoute les vagues
-sublimation
-quand je reviendrai, si je reviendrai
-pourquoi ce si?
-c'est faux
-je le serai après une nuit
-n'est-elle pourvue que de sens
-une force invisible me pousse
-qui sans doute m'a conduite vers toi
-l'heure de ton abdication approche
-j'aurai un souffle de vie
-Tu as quelque chose sur la conscience.
-nous voguons dans les mêmes sphères
-nous sommes ici pour remplir une formalité obligatoire
-je regrette de n'être pas parti
-je n'aurai jamais le courage, ni la force
-ton regard froid
-aux lueurs grises
-nous ne nous sommes pas compris
-déposer simplement une carte
-fais-moi apporter une infusion
-il faut qu'il parte immédiatement
-Y a-t-il une réponse
-lui avoir ainsi enlever sa présence d'esprit
-demandez à celui qui a eu le mot d'esprit
-tous les jours, t'envoyer le cri, tous les jours de ma vie te dire, te répéter








Et en riant
une main blanche et effilée
au fond
un regret
ébloui par les lumières des lustres de cristal
surpris par la demi-obscurité
des lampes basses à abat-jours sombres
«un exagéré»,
pas de petites sensations, tout avec intensité, extrême, maladive souvent
troublé par la vue de certaines couleurs
douleur, esprit toujours toumenté obstacles, côté gris des choses
la vie les avait séparés
l’un la marine; l’autre les lettres
verve et esprit
convalescence
deux alliance seulement à l’annulaire
une volubilité
les bras croisés
le regard voilé
c’était le nez
à la rencontre du flot
il se souvint de son trouble de la vue
son désir insensé de contempler
rien que des mots
dans l’atelier (...) un seul divan, très profond
perd le fil de ses idées
la durée d’une danse
dans un état inexplicable
sous les apparences
la plus franche simplicité
son but
une corse des montagnes
ce qui est rare
à peine un nuage invisible de poudre
les deux mains tendues
très bref
dans tous les mondes
ou même légèrement
les sens attirés
absence à son retour
très droit
devant la porte
en évidence
un soupir
la voix enjouée
comprendre
voix très basse
faire diversion, l'arracher
en riant
regard voilé
voix changée
accompagné par ce rire
il méditait
sans doute
parleur inlassable
la phrase spirituelle
rentrée dans le  monde
vers le ciel de son lit
La voix hésitante
une ombre sur ses yeux
troublé
sa présence
laissé calme
son imagination
il s'éveilla
à l'esprit
sa voix
quitta sa cape
au pied
le calme
régulièrement
un banc, au soleil
chaudement colorées
au souvenirs d'impressions plus vives
la profondeur
sa voix
il l'élevait
entrés dans une barque
ramait
regardait l'eau transparente
monter d'être
un regard
pour un instant
pour revenir
dans le monde fidèles à ses danseurs
en éveil
sans la voir
sans raison
négligence
indifférence
naturelle revirement
un message
rire voilé
mains dans les poches
attentif
à suivre les dessins
efforts d'équilibre
contournait
déplaçait
s'arrêtait
puis reprenait
cet espoir
illusion
fixait
comptait
recommença
s'embrouilla
recommença
se frappa le front
trois cartes
ma distraction
mieux dehors
la vie ridicule
le seul hasard je ne vois plus

incrédule
une perspective
je ne suis pas
mesure
un coup d'oeil
au noeud sobre
sourire
la tête à l'ombre
qui sait
songeuse
un geste
d'un seul trait
ses vapeurs
très sobre
un brin de muguet
le mal de mer en ascenseur
un marin sous la porte
sa couronne
son chapeau
à travers le miroir
les paupières closes
vagabondages
escapade inutile
la présence
le son
sa voix
son bras
le bras
le gant de peau
un à un
les doigts
la main nue
tour à tour
folie
voilé
son être
confondus
toujours pressée
rire forcé
prolongé
interprétation plaisante
tête
attitude
si fort
yeux troubles
frémissement
poignet
manche
geste
silence
aucun désir
des mots vides
ses lèvres
des lèvres
un nouvel ordre
muette
sans doute
accent de vérité
la pensée
un coup de sonnette
avec toi
sourde
un commencement
prochain
promenades
on s'enferme
indifférence
à peine
un peu
après
son trouble
dégoût
valeur
sa vie possible
le résultat
amer
le divan
les instants
la veille
revoir
nécessaire
savoir attendre
le temps de se reprendre
quelques pas
sur le pallier
à travers la porte
sans doute
le visage caché
un élan
droite
le regard fixe
perdu
sa voix
sans calcul
dans ses veines
avec du vague
les narines
dans ses mains
les doigts écartés
de tout son être
sûre
son miroir
un sourire
sombre
sommeil
lucide
sagesse
un peu
avant
attentivement
les poings serrés
un pli au front
une voix décidée
le paraître
obstination maladive
en ordre
à la porte
un cerne
croissant
à mesure
l'heure
d'incertitude
une intention
sa présence
un ordre
à distance
son indifférence
le dérivatif
solitude
dans le monde
préférence
de long en large
équilibrée
jugement sûr
visible
simple hasard
à comprendre
il partait
toujours courant
les vingt et une marches
devant la porte
par esprit
intention évidente
une voix très calme
les yeux fixés sur l'Arc
cacher
son trouble
une voix changée
une comédie
sans changement
énergie
filtre trouble
les yeux
en silence
rêveuse
le chapeau
la route
un ciel voilé
un soleil radieux
une ombre
des passages
trop courts
sans une panne
vue
sur la plage
déserte
files symétriques
ombrelles de toile
sable rosé
énormes trous
une main pour montrer la mer
pur
les rideaux
les vitres
maladresse
bonne humeur
voir ainsi toujours
entier sur la plage
libre
sa voix
murmure des flots
vivre
sa présence
le sable
être libre demain
sombre
étoiles
pâles
"sublimation"
charme de l'attente
la porte
l'oreille
la mer?
la fenêtre
le chuchotement des vagues
cause de son trouble
léger
très ouvert
s'écoula
le vent
sans lunettes
libre
devant lui
l'espace
sentir vivre
son air immobile
pittoresque
les lourdes barques de pêches
avec leurs voiles chamarrées
chapelle des pêcheurs
route élevée
ce changement
un autre regard
bloc d'expansion
des scènes
d'un oeil distrait
un souffle
un mouvement
calme
trop calme
désir
de soie
les yeux clos
sa lucidité
le regard noyé
fenêtre entr'ouverte
dans un souffle
au seuil de la porte
le voyage de retour
rouge et blanc
un air de danse
un pas de fox-trot
en riant et chantant
sa gaieté
courir
tourner
à bout de souffle
le nez
la vitre
le paysage
instants de silence
à voix très basse
sa volonté se trouverait annihilée par ses sens
vrai
gris
noyés
cette illusion
sa poche
au hasard
des secondes
escapade
sous le nez
la porte
un pas vers
tombé à terre
dans l'espace
une seconde
au-dessus du nez
chasser
le nuage
l'heure présente
sa nature
attendre
un instant l'espoir
sa voix grave
ses doigts jouèrent
en artiste
plus haut
danse
tzigane
de jeu
choix
illusion
féerique
une carte
la création
cette idée
grave
un vertige
une durée éphémère
quiétude
recevoir le choc
la nuit noire
la rue déserte
le même passage
le chuchotement de la mer
dans l'espoir
claire
à Cabourg
la grille
l'apparence calme
indifférente
la porte
trouble
claires
lire
son visage
ses mains
les yeux clos
le fuite du temps
les inflexions de la voix
son être entier
l'impression
entendre
un malaise
aveugle
la salle de jeu
l'esprit ailleurs
le bruit de la mer
aux souvenirs
quelques marche
un geste
de danse
désir
désir
désir
une révolte
une ivresse
une revanche
la foule
un rire
il partit
et erra
emplit d'eau de mer
sans transition
ses désillusions
la route d'Honfleur
le vent
le ciel
nuages
la mer
sombre lui-même
sans confiance
sa fenêtre
au bruit de la mer
partagé entre un commencement sans nuances
la plage d'Houlgate
ses paupières
des clignements
trouble
visage pâle
le soleil dorait
un mouvement
sur le point seulement
sa voix dure
à bout de force
un grand vide
une blessure
très profonde
la cicatrice pourrait se déchirer
vers Cabourg
Ailleurs
librement
sans nuance
grave et monotone
les narines palpiter
les dents s'incruster
dans les lèvres
un réveil
quelques étoiles
regard brillant
sans sommeil
vide
la présence
à lui
les portes
ouvertes à tous les autres
distinction
sa rêverie
la dernière
infinie
le calme
le convaincre
avec son souvenir
le chant de la mer
le temps
sa plume
le tumulte vagabond
le contraindre à fuir
un tour de clef
sentir le bruissement du papier
quelques lignes
une pointe
sortir
demeurer
d'un noir
fausse route
octobre levait l'ancre
le grand départ
reposoir
constant
un rayon de bonheur
eaux vertes
du reflet du ciel
un globe rouge voilé
un nuage pâle
sa marche
vainqueur
insensible aux vagues
face à la terre
droit
légèrement
attitude habituelle aux marins
ses cheveux obéissait au vent
ces yeux des marin
scruter des horizons sans fin
solitaire
le goût amer

immobile
tout était noir
le reflet de ma constance
l'attente de cette heure
bottom of page